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que la personne qui fait cette déclaration se distancie de toute responsabilité pour les informations ou le matériel qui suivent dans le texte. Nous ne sommes pas responsables de ce qui est écrit ou exprimé dans le contenu, et les conséquences ou problèmes potentiels qui pourraient en découler ne relèvent pas de leur responsabilité.

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INTRODUCTION :

L’aspiration bronchique est un geste soignant courant qui doit être entrepris dans des
conditions rigoureuses d’asepsie et nécessite l’utilisation de nombreux dispositifs
médicaux stériles et non stériles, le point sur les modalités de réalisation du soin et les
systèmes d’aspiration disponibles.
Ce geste consiste a introduire une sonde d’aspiration dans les voies aériennes
supérieures jusqu’au deux tiers de la trachée, puis en une aspiration régulée par le vide. Il
permet donc de maintenir la perméabilité des voies aériennes supérieures, de prévenir la
formation d’un bouchon muqueux, et d’améliorer les échanges gazeux.
L’aspiration bronchique est indiquée en cas d’encombrement bronchique afin
d’améliorer le confort respiratoire du patient lors d’expectorations difficiles, voire
impossibles. Il peut s’agit d’un acte ponctuel lors d’encombrements momentanés, elle est
réalisée en ambulatoire et en établissement de santé, en manipulation courante, comme en situation d’urgence. Elle se pratique chez les patients ayant conservé une autonomie
respiratoire et chez les patients sous ventilation mécanique invasive.
L’étude est axée sur 03 parties:

– Une première, consacrée à déterminer le problème “l’efficacité de l’aspiration trachéo-
bronchique” et la méthode adoptée pour son traitement.

– Une deuxième, théorique, définissant les références dont notre approche puise telles que
les principes et les modalités pratiques de réalisation des gestes de soins.
– Et, en fin , les résultats obtenus , par le biais de l’observation du phénomène , dans la
réalité quotidienne.


CHOIX DU THEME :

Durant notre stage pratique effectué dans le service de soins intensifs, nous avons
remarqué que la technique d’aspiration trachéo-bronchique est importante pour assurer une
ventilation efficace chez un patient intubé et que cet acte se répète devant :
La persistance des signes cliniques qui témoignent la présence d’un obstacle sur le
conduit respiratoire (la cyanose, la gène respiratoire, l’encombrement , les râles ……)

Notre étude porte sur plusieurs actes pour évaluer l’efficacité d’aspiration trachéo-
bronchique.

OBJECTIFS:
Nos objectifs :
· Assurer et entretenir la liberté des voies aériennes supérieures.
· Prévenir les risques de pneumopathies nosocomiales.
(Elle se substitue au dysfonctionnement de la fonction mucociliaire responsable
d’une accumulation de secrétions dans l’arbre trachéo bronchique).
· Evaluer le niveau d’exécution du geste d’aspiration trachéo-bronchique.

 

OBJECTIFS:

Nos Objectifs :
· Assurer Et Entretenir La Liberté Des Voies Aériennes Supérieures.
· Prévenir Les Risques De Pneumopathies Nosocomiales.
(Elle Se Substitue Au Dysfonctionnement De La Fonction Mucociliaire Responsable
D’une Accumulation De Secrétions Dans L’arbre Trachéo Bronchique).
· Evaluer Le Niveau D’exécution Du Geste D’aspiration Trachéo-Bronchique.

PROBLEMATIQUE


Face à des états d’encombrement bronchique, situation diminuant les chances d’un
échange gazeux optimal entre les poumons et le milieu interne, le recours à des actes de soins
de désencombrement pour évacuer les voies et laisser libre la circulation de l’air inspiré et
expiré, est une mesure pratique courante en milieu hospitalier et en particulier en services de
soins intensifs.
Plusieurs situations médicales peuvent générer ces états et du fait, faire appel à des
solutions qui, parmi elle, se présente l’aspiration trachéo-bronchique.
Cette technique consiste à aspirer les sécrétions bronchiques, souvent la cause
d’encombrement, en employant une sonde et une technique d’aspiration bien spéciales.
Lors de nos stages d’application, aux services de réanimation, nous avons remarqué que
malgré la répétition, le long de la journée, des actes d’aspiration trachéo-bronchique, au profit
de ces patients (dont la majorité et composée d’inconscients et de sous respirateurs), les râles
et les signes de gène respiratoire persistent toujours.
Alors, nous nous sommes interrogées : Qu’est-ce qui peut expliquer cette persistance
des signes cliniques malgré les répétitions de geste d’aspiration ?

HYPOTHESE :


la réalisation incorrecte et /ou inefficace du geste d’aspiration trachéo-bronchique trouve
son explication dans la persistance des signes cliniques de la gène respiratoire chez les
patients sous respirateurs.

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